Enfin, le jeudi 30 mars, le Festival commence à devenir réalité et non plus discussion autour de petits gâteaux !
Celles-ci n'étant cependant pas négligeables quoi qu'on en dise. De 14h30 à 16h30, "stage" au CDI avec l'équipe de caméra Zizanio ; histoire de savoir manier caméra et logiciel Adobe Première. Ensuite, tout se précise !
Nous nous sommes retrouvés, Alexis, Mathieu et moi-même devant l'Attikon cinemax aux environs de 20 heures. Etant donné qu'il est indiscutable qu'Alexis et Mathieu ont plus d'expérience à la caméra, je leur laisse volontiers le soin de filmer le début (...) me contentant de l'appareil photo.
La première demie heure de ce festival, passée dans le hall d'entrée du cinéma, aura eu le mérite de servir à une chose : prendre le coup de main. Essayer d'attraper quelques personnalités à leur arrivée, filmer plusieurs plans intéressants (je m'y suis quand même mise...) n'est pas si simple que ça en a l'air.
Alors qu'après avoir cadré, ajusté pendant un quart d'heure votre objectif, vous saisissez LE moment où votre victime est immobile... voici qu'un importun choisit CE moment pour éprouver un besoin urgent de passer juste DEVANT la cible... conclusion : au lieu du magnifique plan, zoom, projeté, l'appareil enregistre un vague costume marron, une paire de chaussures...
Ce problème-là n'était pas le seul ; mais sans doute le plus gênant, à mon avis, en tous cas pendant que les invités entraient, sortaient, riaient...
Une fois entrés in extremis dans la salle et ayant pris place sur les sièges farouchement gardés par nos "protecteurs", le véritable défi commençait. Il ne s'agissait plus de prendre "pour essayer" quelques vues de la foule; mais de se faufiler partout, d'être à 10 endroits différents au même moment. Heureusement que nous étions plusieurs ! Mathieu se chargeait des plans d'ensemble, au début, pris d'en haut ; il était partout à la fois ! Alexis (caméra) et moi-même (appareil photo) étions en train de jouer des coudes pour essayer de mitrailler successivement Alain Fohr (IFA), Fanny Aubert Malaurie, interwievée auparavant à la conférence de presse du mardi dernier, et la fameuse délégation artistique si attendue ! Caméra et photos étaient nécéssaires ; ici, encore une fois, un "reporter" seul n'aurait pas pu faire la moitié des prises videos et photos nécéssaires !
Claude Brasseur était aux honneurs ; ainsi que Danièle Thompson, réalisatrice de Fauteuils d'orchestre. Cette fois-ci, la difficulté avait changé de place. Une fois que les professionnels avaient exécuté leur boulot, ils s'éloignaient généralement ; la salle étant assise, il n'était pas difficile d'avoir de bonnes prises de vue. Réaliser un zoom sur un visage s'est révélé plus compliqué ; non pas du point de vue technique ; mais pour la qualité du résultat. Plus le zoom était important, plus l'image était sombre... ou floue dans certains cas.
Bien évidemment, pendant la projection de Fauteuils d'orchestre, aucune photos, film ni rien. Heureusement, parce que le film était un vrai bon film, avait le mérite d'être en français et de réunir une pléiade d'acteurs prestigieux, très agréables et plaisants à regarder... du fond de son fauteuil !
Une fois terminée la projection, les choses sont allées plus vite. Une dernière fois, alors que l public faisait une ovation à Danièle Thompson et Claude Brasseur, j'ai pris quelques photos, tout en surveillant avec une légère inquiétude les piles de l'appareil baisser... mais il a tenu le coup.
Et vers 11h30, après cette soirée riche en évènements, nous avons repris le métro... pour une nuit légèrement écourtée !
Ce problème-là n'était pas le seul ; mais sans doute le plus gênant, à mon avis, en tous cas pendant que les invités entraient, sortaient, riaient...
Une fois entrés in extremis dans la salle et ayant pris place sur les sièges farouchement gardés par nos "protecteurs", le véritable défi commençait. Il ne s'agissait plus de prendre "pour essayer" quelques vues de la foule; mais de se faufiler partout, d'être à 10 endroits différents au même moment. Heureusement que nous étions plusieurs ! Mathieu se chargeait des plans d'ensemble, au début, pris d'en haut ; il était partout à la fois ! Alexis (caméra) et moi-même (appareil photo) étions en train de jouer des coudes pour essayer de mitrailler successivement Alain Fohr (IFA), Fanny Aubert Malaurie, interwievée auparavant à la conférence de presse du mardi dernier, et la fameuse délégation artistique si attendue ! Caméra et photos étaient nécéssaires ; ici, encore une fois, un "reporter" seul n'aurait pas pu faire la moitié des prises videos et photos nécéssaires !
Claude Brasseur était aux honneurs ; ainsi que Danièle Thompson, réalisatrice de Fauteuils d'orchestre. Cette fois-ci, la difficulté avait changé de place. Une fois que les professionnels avaient exécuté leur boulot, ils s'éloignaient généralement ; la salle étant assise, il n'était pas difficile d'avoir de bonnes prises de vue. Réaliser un zoom sur un visage s'est révélé plus compliqué ; non pas du point de vue technique ; mais pour la qualité du résultat. Plus le zoom était important, plus l'image était sombre... ou floue dans certains cas.
Bien évidemment, pendant la projection de Fauteuils d'orchestre, aucune photos, film ni rien. Heureusement, parce que le film était un vrai bon film, avait le mérite d'être en français et de réunir une pléiade d'acteurs prestigieux, très agréables et plaisants à regarder... du fond de son fauteuil !
Une fois terminée la projection, les choses sont allées plus vite. Une dernière fois, alors que l public faisait une ovation à Danièle Thompson et Claude Brasseur, j'ai pris quelques photos, tout en surveillant avec une légère inquiétude les piles de l'appareil baisser... mais il a tenu le coup.
Et vers 11h30, après cette soirée riche en évènements, nous avons repris le métro... pour une nuit légèrement écourtée !
2 commentaires:
Passionnant... mais où sont les photos ? Même sombres, on est impatient de voir ça...
Bravo aux apprentis journalistes!!! Continuez ainsi!
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